Suivez nous :

Comment tout a commencé

Tout a commencé par un désir ardent dans mon cœur, celui d’explorer l’abysse de mon âme. À travers diverses initiations ésotériques, j’ai partagé mon expérience et ma sagesse dans des groupes sur WhatsApp et Telegram. Puis, en 2016, ma vie a été bouleversée par une désintégration (nigredo) alchimique où j’ai tout perdu. Suite à cela, je me suis réveillé avec un enseignement nouveau, empreint d’amour. Depuis, je suis sur le chemin que Sabatha m’a tracé – guérir les âmes souffrantes et rallumer les bougies qui ont perdu leur éclat.

  • Nom : Le Comte de Sabatha
  • Position : le-comte-de-sabatha
  • Telephone : 954-663-8783
  • E-mail : gpsabatha@gmail.com

C’est votre réponse à ce qui vous arrive qui définit qui vous êtes, et non les événements eux-mêmes.

Éveil spirituel insoupçonné du Comte de Sabatha

En 2016, à Fort Wayne, Indiana, chaque soir à 11 h 45, après mon travail séculaire, je pratiquais assidûment et fidèlement plusieurs rituels : le LBRP (Rituel du Petit Pentagramme en Renvoi à la Terre), le Pilier du Milieu, les rituels associés à mon grade, ainsi que différents types de travaux alchimiques issus des traditions mystiques orientales et occidentales.

Après quelques mois de cette pratique régulière, je commençai à me sentir très différent de ce que j’étais auparavant. Des changements brusques s’opéraient dans ma psychologie et mon attitude, ce qui me préoccupait grandement. Mon état d’âme évoluait de jour en jour à une vitesse de plus en plus rapide. L’inquiétude se transforma en peur, car je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Le sommeil me devenait impossible. Lorsque je fermais les yeux, des images désastreuses et monstrueuses surgissaient, comme si je visionnais un film de fiction. Des voix diverses m’adressaient la parole, et il m’était impossible de toutes les assimiler. C’était comme si mon esprit, tel un ordinateur, téléchargeait des tonnes d’informations sur son disque dur. J’avais l’impression que je ne pourrais jamais tout retranscrire, même en écrivant à la vitesse de la lumière, tant les informations affluaient rapidement. C’est alors que je commençai à rechercher la solitude, car j’avais besoin de temps seul pour tenter de comprendre ce qui m’arrivait. Mes livres et un parc situé tout près de chez moi devinrent mes meilleurs amis. Petit à petit, un désintéressement s’installa en moi. Mes passe-temps, mes préférences et mes désirs commencèrent à changer. Ce que j’aimais devenait répugnant, ce qui m’intéressait devenait froid. Malgré toutes ces péripéties, je conservais la force et le courage de continuer à pratiquer mes travaux d’alchimie spirituelle, même si je ne comprenais pas la direction que ma vie prenait.

Dès lors, aucune entreprise locale ne voulait plus m’employer pour une longue période. Si, après de nombreuses recherches, je trouvais un emploi, c’était pour seulement deux ou trois semaines. Je me sentais seul et avais tout perdu, mais une seule chose me restait : une mystérieuse conviction que quelque chose m’attendait après cette tempête. Je savais, au plus profond de mon âme, pourquoi je me sentais ainsi. C’était mon seul espoir.

Chaque matin, très tôt, je ressentais une intense envie de me promener au parc. J’appelais cette balade, sans être vraiment sûr de la raison, la « marche mystique matinale ». Malgré le froid glacial de l’hiver, je me levais chaque matin pour effectuer ma petite promenade solitaire.”

Un jour, alors que je marchais au bord du trottoir, ma conscience s’ouvrit soudainement et se répandit dans toutes les directions. Observant les voitures passant dans la rue et les piétons marchant en bordure de celle-ci, je remarquai des larmes couler sur mes joues sans en connaître la raison. À cette époque, je n’étais pas le maître de mes choix ni de mes décisions. Je n’étais qu’un spectateur qui observait, écoutait et exécutait ce qu’on lui disait de faire. Tout à coup, je ressentis une compassion bouddhique qui me transperça le coeur. Pour la première fois, je pris conscience de la condition malheureuse dans laquelle vivent les êtres humains sur cette Terre. C’était la première fois de ma vie que j’éprouvais ce genre de sentiments, qui me paraissaient si étranges. C’était comme si toutes les peines du monde venaient s’abattre sur mes épaules. Je continuai à pleurer en me dirigeant vers le parc, mais à ce stade, je commençai à prendre conscience de mon état, tantôt mélancolique, tantôt troublé. Je finis par comprendre que je pleurais pour l’ignorance et le sommeil profond dans lesquels vivent les hommes.

Le jour qui allait bouleverser ma vie survint lorsque l’administrateur de l’entreprise où je travaillais m’appela dans son bureau. Mon superviseur en chef me remercia, expliquant que je n’avais pas répondu aux exigences des standards de l’entreprise. Étonné par cette décision, le coeur battant la chamade, confus et désespéré, je pris le chemin du retour en me posant sans cesse ces questions : « Frantzcy, qu’est-ce qui t’arrive ? S’agit-il d’une malédiction ou quoi ?

Ce qui me troubla le plus, c’est que je pratiquais ma spiritualité avec éthique. J’aidais les personnes en difficulté sans rémunération, je m’acquittais de mes devoirs mystiques ponctuellement, et je progressais bien au sein de la tradition de la Golden Dawn. Mon tuteur m’appréciait pour mon intelligence, rare parmi ses élèves, et au travail, tout le monde m’aimait pour ma personnalité d’enfant calme. Je me disais : « Pourquoi tout cela m’arrive-t-il, comme si j’étais un malfaiteur subissant son sort ? »

Je commençai alors à naviguer sur Internet pour voir si je pouvais trouver quelqu’un ayant vécu un phénomène similaire. Je visitai YouTube, Facebook, et plus d’une cinquantaine d’autres sites qui pourraient éventuellement discuter d’un cas pareil. Plus je cherchais à comprendre ce qui m’était arrivé, plus ma peur augmentait, car j’avais l’étrange impression que j’allais perdre mon ancien moi. Et c’était là ma plus grande crainte.

Mes élèves sont devenus mes gourous. J’avais l’impression d’avoir perdu tout ce que j’avais appris dans les livres entre 1999 et 2016. J’ai commencé à contacter des frères que je connaissais en Haïti pour m’aider à comprendre ce sentiment de déconnexion avec tout — mes croyances, mon identité et ma vision du monde — mais ma quête demeurait infructueuse. J’avais le sentiment d’être un ermite destiné à vivre seul.

Au coeur de ce tumulte psychologique et émotionnel, il y avait, dans les profondeurs de mon coeur, quelque chose de semi-conscient que j’évitais : l’appel à devenir un guide pour les âmes perdues, ce que les humains appelleraient un Maître spirituel. Voilà ce qui était à l’origine de mon problème : une résistance à l’appel de mon âme. Pour répondre à cet appel, tout mon système devait passer par une grande purification.

Un matin, aux alentours de 10 heures, pendant que je m’asseyais sur la toilette, j’ai entendu une voix, ni trop forte ni trop faible, à la fois en moi et autour de moi, disant : « Frantzcy Moïse, tu es un maître spirituel ». À cet instant, je lisais un livre spirituel dont j’ai oublié le titre. Soudain, j’ai redressé la tête, tendu l’oreille, et mon esprit en alerte a cherché à identifier l’origine de cette voix mystérieuse. Après quelques minutes, je continuai à lire, comme si rien ne s’était passé. Pour la deuxième fois, j’entendis la même voix, cette fois à un niveau de décibels plus élevé que le précédent : « Frantzcy Moïse, vous êtes un maître spirituel ». Je me levai brusquement, mon livre en main et mon pantalon baissé jusqu’aux genoux, et parodiai la voix avec un air confiant : « Oui, Frantzcy Moïse, tu es un maître spirituel ». Immédiatement après avoir accepté mon appel, je perdis l’ancien Frantzcy. Je me mis à marcher dans la maison, comme si j’essayais de me familiariser à nouveau avec l’emplacement des meubles.

Quelques minutes plus tard, une voix douce me parla au coeur : « Frantzcy, allume tes cierges et mets-toi à genoux pour prier ». Je m’exécutai comme un enfant suivant les instructions de son père.

Le moment le plus terrifiant allait suivre. Après une période de méditation devant mes cierges, une impression étrange m’enveloppa. Une conviction surgie de nulle part me persuada d’abandonner tous les ordres ésotériques auxquels j’appartenais. À cette époque, j’étais un initié de la Golden Dawn. En cet instant, ma vie bascula : la désolation m’envahit, et je perdis le sens de mon existence.

Durant cette même semaine, je passai 14 jours sans sommeil sans pour autant me sentir fatigué. Cela me semblant bizarre, je pris rendez-vous avec mon tuteur pour en discuter. Son explication du processus ne fut pas assez convaincante pour me soulager.

Une semaine plus tard, un guide spirituel m’approcha et m’enseigna la création d’un nouvel Ordre ésotérique : L’Ordre Mystique EYEH ASHER EYEH. C’était la dernière fois que je voyais l’ancien Frantzcy jusqu’à présent.

J’ai créé un blog, le “Blog Spirituel de GP Sabatha”, pour consigner les informations reçues ainsi que mon expérience, car je ne voulais ni perdre cet état ni oublier ces informations. Mon ami I.C.N. pensa que j’avais perdu la tête. Il commença à me poser des questions, cherchant à vérifier ses pensées. Il alla même jusqu’à appeler un ami en Haïti pour lui dire que, semble-t-il, Frantzcy avait perdu la raison. Il était inquiet, à ce qu’il paraît.

C’est ainsi qu’après quelques mois, j’acceptai l’appel. Je me remis au travail pour payer mes factures, bien que tout me parût étrange. Je sentais que travailler dans une industrie ou une entreprise représentait une immense perte de temps. Cependant, je continuai à travailler car je n’avais pas d’autre choix. La vie aux États-Unis exige une grande discipline ; il est impératif de travailler, faute de quoi on est considéré comme un bon à rien.

Dès lors, un vaste corpus d’informations devint accessible à moi, et ce jusqu’au moment où je vous parle. Malgré les apparences extérieures qui suggéraient que tout était chaotique dans ma vie, je retrouvai ma paix intérieure. L’ancien Frantzcy n’était plus ; j’acceptais ma vie et celle des autres sans difficulté, et je commençai à enseigner le cinquième évangile, une mission que je poursuis jusqu’à ce jour.

Au début de l’année 2018, je reçus un appel formel pour retourner en Haïti. On m’enseigna que je rencontrerais une fille portant l’énergie d’Anacaona. J’essayai de quitter les États-Unis en 2018, mais je n’y parvins pas pour une raison qui m’est totalement étrangère. En juin 2019, après un voyage en France et un jour après mon retour aux États-Unis, je partis pour la terre ensoleillée d’Haïti, également connue sous les noms de Ayiti, Kiskeya ou Boyo. Aujourd’hui, je vis en Haïti, propageant les enseignements que j’ai reçus pour le plus grand bien de tous.

Notre démarche pour atteindre notre mission : ALUTRELI


  1. Approcher nos frères et sœurs avec “AMOUR”
    L’amour, pilier de notre quête, nous guide vers nos frères et sœurs. Il est le premier pas vers une communion profonde, où l’harmonie et la compréhension mutuelle s’épanouissent.
     
  2. Accéder avec la “LUMIÈRE” intérieure
    La lumière intérieure est notre boussole, éclairant le chemin de notre parcours spirituel. Elle nous révèle la vérité cachée en chacun et illumine notre voyage vers la sagesse.
     
  3. Inciter la “TRANSFORMATION” de l’âme
    La transformation de l’âme est un voyage sublime. Elle requiert courage et persévérance, mais promet en retour une évolution profonde, marquant le passage de l’ombre à la lumière.
     
  4. Emprunter le chemin de l’”ÉVEIL”
    L’éveil est l’étape cruciale de notre quête. Tel un papillon émergeant de sa chrysalide, nous aspirons à un état de conscience supérieure, où la clarté remplace l’illusion.
     
  5. Atteindre la “LIBÉRATION” finale
    La libération finale est l’ultime aboutissement de notre quête spirituelle. Elle symbolise la délivrance totale, un état de paix et de plénitude où l’âme transcende les limites terrestres.

Envoyez nous un message